Un juge, l’an passé, me prit à son service ; Il m’avait fait venir d’Amiens pour être suisse…5 C’est dommage, il avait le cœur trop au métier ; Tous les jours, le premier aux plaids1, et le dernier ; Et bien souvent tout seul : si l’on l’eût voulu croire, Il s’y serait couché sans manger et sans boire. […] maison de notre propre juge !