Sans divertissement il n’y a point de joie, avec le divertissement il n’y a point de tristesse. […] De longtemps je ne serai remise de la joie que j’eus hier ; tout de bon, elle est trop complète : j’avais peine à la contenir. […] ô joie pure des enfants de Dieu ! […] La joie de faire du bien est tout autrement douce et touchante que la joie de le recevoir. […] Sa joie m’annonce que j’ai fait quelque bonne action, et ses soupirs me disent que j’ai quelque mal à réparer.