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35. (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Principes généraux des belles-lettres. » pp. 1-374

Si c’étoit un sentiment de tristesse, il seroit trop pénible : si c’étoit un sentiment de joie, il s’affoibliroit, quelque vif qu’il pût être. […] Sganarelle se charge avec joie de cette commission, et veut décacheter la lettre. […] Nouvelle commission que Sganarelle va exécuter avec la plus grande joie, s’applaudissant toujours d’avoir trouvé dans sa femme future une personne si sage et si vertueuse. […] D’un soin cruel ma joie est ici combattue. […] Bannissez ces soupçons qui troubloient notre joie.

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