Une poésie sombre colore ce pamphlet inspiré par un cœur courroucé, qui voit dans tout abus un crime, dans tout adversaire un ennemi (1832). […] Je ne saurais exprimer l’horreur que m’inspire tout ce qui tend à rompre le lien d’amour parmi les hommes, tout principe qui autorise à se haïr et à se nuire réciproquement, à cause des manières diverses de penser. […] Comparez cette belle page de madame de Staël : « Tout ce qui est vraiment beau est inspiré, tout ce qui est désintéressé est religieux.