L’inscription s’appelle épigraphe quand elle est placée au frontispice d’un livre, pour en indiquer, sous forme de sentence, l’objet ou l’esprit. […] La première de ces épigraphes indique le plan de l’ouvrage ; la seconde, l’esprit. […] On caractérise chacun de ces mots en exprimant par une circonlocution l’idée qu’il renferme, après quoi on indique vaguement la signification du mot pris dans son entier.