L’esprit humain ne peut rien créer : il ne produira qu’après avoir été fécondé par l’expérience et la méditation ; ses connaissances sont les germes de ses productions ; mais, s’il imite la nature dans sa marche et dans son travail, s’il s’élève par la contemplation aux vérités les plus sublimes, s’il les réunit, s’il les enchaîne, s’il en forme un tout, un système par la réflexion, il établira sur des fondements inébranlables des monuments immortels1. […] Sur la vie de Paris 2 À l’abbé Le Blanc Je suis charmé quand je pense que vous vous levez tous les jours avant l’aurore ; je voudrais bien vous imiter ; mais la malheureuse vie de Paris est bien contraire à ces plaisirs.