On voit dans le drame la chose qui se fait, et de quelle manière elle se fait, on entend les discours des personnages qui imitent, comme si la chose se faisait réellement et par des personnages qui n’imiteraient pas. […] Une question littéraire, qui a été l’objet de nombreuses et vives discussions, surtout chez le : modernes, est celle qui est relative à l’imité nécessaire au drame. […] Toutefois, il faut bien se garder de l’imiter dans ces lieux communs de morale lubrique que Boileau lui a justement reprochés.