Un feu pur et doux l’anime ; une imagination réglée la colore. […] Chacun trouve en soi la source de sa douleur, et rouvre lui-même sa plaie ; et le cœur, pour être touché, n’a pas besoin que l’imagination soit émue.
Un feu pur et doux l’anime ; une imagination réglée la colore. […] Chacun trouve en soi la source de sa douleur, et rouvre lui-même sa plaie ; et le cœur, pour être touché, n’a pas besoin que l’imagination soit émue.