Ses descriptions de combats, le feu dont il les anime, l’intérêt qu’il y répand, offrent au lecteur de l’Iliade une foule de traits et d’images sublimes. […] La Henriade, quoique toujours à une distance très considérable, se rapproche quelquefois d’Homère lui-même, par le sublime des images et la richesse de l’expression. […] Cette grande image d’Homère, qui nous représente Jupiter ébranlant l’Olympe d’un signe de sa tête, a toujours été regardée comme sublime.