Ces chemins désagréables sont l’image d’une composition sans gradation, qui paraît traînante et pénible, fatigue l’attention et rebute l’esprit. […] Il semble, grâce à l’image produite par les détails, qu’on voit mourir le héros.
Ces chemins désagréables sont l’image d’une composition sans gradation, qui paraît traînante et pénible, fatigue l’attention et rebute l’esprit. […] Il semble, grâce à l’image produite par les détails, qu’on voit mourir le héros.