La grâce divine triomphera, mais non sans le secours de l’amour humain sanctifié par les lumières de la foi. […] Andromaque sublime sans être au-dessus de l’humain, héroïne sans cesser d’être femme : voilà quelle était la véritable nouveauté de cette tragédie. […] Voltaire appelait ce rôle l’effort de l’esprit humain. […] Les sentiments humains, mon frère, que voilà ! […] Ce n’est, pour ainsi dire, que par accident qu’il remue fortement les grands ressorts du cœur humain.