Ce qui a donné lieu à cette fiction, c’est que les premiers hommes qui montèrent à cheval, parurent de loin avoir cette forme. […] À peine ce saint homme fut mort, que Joas se laissa séduire par des flatteurs corrompus. […] On lui met dans les mains une urne, où sont renfermées les destinées des hommes. […] Il nourrit une grande quantité de crocodiles, gros poissons qui dévorent les hommes et les animaux qu’ils peuvent surprendre. […] C’était un des hommes les plus avares et les plus cruels.