Boileau, dans la même satire, définit encore l’homme de la manière suivante : Voilà l’homme en effet. […] — 2° Grandeur et Bassesse de l’homme. […] Se peut-il qu’un livre, à la fois si sublime et si sage, soit l’ouvrage des hommes ? Se peut-il que celui dont il fait l’histoire ne soit qu’un homme lui-même ? […] Où est l’homme, où est le sage qui sait agir, souffrir et mourir sans faiblesse et sans ostentation ?