Ainsi donc se dénouent les plus doux liens de la terre, et nous nous en allons mouillant de nos larmes le chemin qui conduit à cette autre vie, la seule réelle, la seule désirable, qui nous est proposée comme but, et promise comme récompense ; et voilà pourquoi il est écrit : Pleurez peu sur le mort, parce qu’il repose ; et encore : Heureux les morts qui meurent dans le Seigneur ! […] Tous les événements heureux ou malheureux y servent également. […] On lit dans une autre lettre à M. de Coriolis : « Je vous assure, mon cher ami, qu’on est heureux de regarder l’avenir du fond d’une retraite obscure et tranquille, tranquille surtout à cause de son obscurité même.