J’ai déjà traité de la gradation ; celle que les mots représentent si bien s’appelle climax, du mot grec qui veut dire, échelle, degrés. […] Dès que j’ai parlé d’hellénisme, ou construction imitée du grec, ou conçoit que chaque langue peut avoir ainsi des constructions singulières empruntées à une autre langue ; que le français est susceptible d’hellénismes, de latinismes, de germanismes, etc.