Il faut convenir qu’il y a dans cette dernière partie de l’éloge, un ton de grandeur et une élévation d’idées qui nous reportent aux beaux jours d’Athènes ; et que Lucien prend ici le style de Démosthène en le faisant parler.
Il faut convenir qu’il y a dans cette dernière partie de l’éloge, un ton de grandeur et une élévation d’idées qui nous reportent aux beaux jours d’Athènes ; et que Lucien prend ici le style de Démosthène en le faisant parler.