« C’est avec regret, César, que j’ai entendu souvent de votre bouche ce mot qui par lui-même est plein de sagesse et de grandeur : J’ai assez vécu, soit pour la nature, soit pour la gloire. […] Est-ce donc à vous de mesurer la durée de vos jours sur le peu de prix que peut y ajouter votre grandeur d’âme, et non pas sur l’intérêt commun ?