. — De 1669 à 1677, il laisse reposer ses armes, et maître du champ de bataille, formule dans l’Art poétique (1674), sous la dictée d’Horace, dont il n’a pas la grâce, ces lois éternelles du goût, qui doivent être la conscience de tout écrivain. […] Le goût du vrai fut sa passion bienfaisante et éloquente. […] Le faux goût de l’Italie régnait alors en France. […] Le goût et la conscience ne font qu’un : le beau et le bien dérivent de la même source.