« Il écrit à la diable pour l’immortalité » a dit Chateaubriand ; mais ne lui demandez ni la sobriété, ni la correction, ni les bienséances, ni le goût. […] Ce qui impatiente, c’est qu’on l’a loué jusqu’ici sans précision, et avec une exagération peu conforme à ses goûts, à sa manière, aux règles de sa poétique et de sa critique.