Pour sa gloire d’auteur, elle n’a point cessé de grandir1 : il n’en est pas de plus éclatante dans la littérature française ; on peut ajouter dans aucune littérature. […] La gloire du Val-de-Grâce. […] L’Académie française, qui n’avait pas compté Molière parmi ses membres à cause de sa profession, rendit hommage à la beauté de son génie en lui dédiant, un siècle après sa mort et dans la salle même de ses séances, un buste avec cette inscription de Saurin : Rien ne manque à sa gloire, il manquait à la nôtre.