Ils semblaient oublier que la justice et la vérité sont la loi commune de tout écrivain, et que celui qui parle sur les livres des autres, au lieu d’en faire lui-même, n’est pas un ennemi naturel des gens de lettres, mais un homme de lettres moins entreprenant ou plus modeste1. […] Aussi les gens de goût sont-ils les hauts justiciers de la littérature. […] Que de gens se permettent de régenter, et devraient être récusés comme des juges incompétents !