L’auteur d’un argument sur l’Oreste d’Euripide remarque que cette pièce, ainsi que l’Alceste, a un dénoûment comique il cite encore un exemple de Sophocle, et il ajoute : « En un mot, il y a beaucoup d’exemples de ce genre dans la tragédie. » Comparez Villemain, Tableau du xviii e siècle, IIIe partie, v e leçon.