Celui qui disait au baron d’Holbach :« La majesté des Écritures m’étonne », sema ses germes d’où le Génie de christianisme devait éclore. […] Formé tout seul, sans maître, à l’école de la souffrance, son génie se compose d’imagination et de sensibilité, de logique et de véhémence ; il a de l’orateur le mouvement, la force, la dialectique pressante, l’abondance et la flamme. […] S’il y a encore quelques hommes de génie à Paris, ils sont persécutés. […] Sa consultation est d’un médecin qui a le génie du bon sens, éclairé par le cœur.