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61. (1825) Rhétorique française, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes pp. -433

Frappé de ces diverses imperfections, j’ai vu qu’un bon livre élémentaire sur la rhétorique était encore à faire. […] Le retour fréquent d’une conclusion tirée en forme, qui vient frapper sur un antécédent, ordinairement très-concis, a quelque chose de fatigant et de dur. […] « Comme un trait, dit ce célèbre rhéteur, devient inutile à celui qui le jette au hasard et sans savoir où il doit frapper, il en sera de même des argumens, si l’on n’a prévu l’usage qu’on en doit faire. […] Moyen de se frapper soi-même des choses qui nous sont étrangères. […] Ne verrai-je pas l’un frapper, l’autre tomber par terre ?

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