La gêne de notre syntaxe française est effrayante pour qui ne connaît pas encore toutes les souplesses et toutes les ressources de la langue. […] Mais dans des moments plus tranquilles, dans la peinture des émotions de l’âme, l’éloquence française a prouvé mille fois le pouvoir et le charme de l’harmonie. […] Voilà pourquoi, en grande partie, le Claudien de la prose française, Thomas, est déchu si rapidement de la réputation collégiale dont il avait joui un moment.