La course, la lutte, les danses militaires achevèrent de développer ses forces. […] Dans ces temps d’opprobre, seule elle conserva la dignité de la nature humaine : elle apprenait à vivre ; elle apprenait à mourir : et tandis que la tyrannie dégradait les âmes, elle les relevait avec plus de force et de grandeur. […] Il faudrait que sa force fût aussi prompte que sa volonté, pour détruire et combattre sans cesse toutes les forces qui luttent contre le bien général : mais le prince a des organes aussi faibles que le dernier de ses sujets.