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76. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IX. Poésies fugitives. »

Ainsi, l’épigramme, prise dans son sens restreint, n’est autre chose qu’une pensée fine et mordante, dirigée contre quelqu’un ou quelque chose, et présentée heureusement et en peu de mots. […] Grâce à leurs soins, il gagna le rivage, Et rappela ses esprits doucement ; Tant qu’à la fin, ayant repris courage : « Beau sire Dieu ! […] Chaque couplet d’une chanson doit être terminé par une pensée fine ou un sentiment délicat. […] Mais qu’on ne passe point les bornes d’une critique fine et d’une raillerie délicate.

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