Mon fils, tu veux mourir ? […] Parle, parle, mon fils, quel chagrin te consume ? […] Non, tu n’as plus de fils, ma mère bien-aimée. […] mon malheureux fils ! […] Son fils aîné arriva d’Angleterre ; malgré l’affection qu’il portait à ce fils, il ne se laissa aller à aucun attendrissement, ne manifesta aucune faiblesse ; la paix de l’Europe paraissait sa seule pensée.