Tant qu’un travail utile à mas bras fut permis Jamais on n’eût osé me dire, Renonce aux baisers de ton fils. […] Une mère bénit son fils en l’embrassant ; — Mon fils, qu’un baiser te bénisse. […] Que feras-tu, / mon fils, / si Dieu ne te seconde, — Seul, — parmi les méchants, / car il en est au monde. […] Tes folies, mon fils, causeront mon trépas. […] Les vers suivants seraient bons ; Mon trépas, fils cruel, vient de tes perfidies Mon trépas est causé, mon fils, par les folies.