Oreste veut féliciter Pyrrhus de ses exploits et en même temps le blâmer de l’appui qu’il donne à Astyanax : Avant que tous les Grecs vous parlent par ma voix, Souffrez que j’ose ici me flatter de leur choix, Et qu’à vos yeux, seigneur, je montre quelque joie De voir le fils d’Achille et le vainqueur de Troie. […] Hector tomba sous lui, Troie expira sous vous, Et vous avez montré par une heureuse audace Que le fils seul d’Achille a pu remplir sa place.