Madame de Sévigné remercie sa fille. […] Ma fille, le chemin n’est-il pas étroit ? […] Adieu ma fille ! […] La pauvre fille près de mourir ne les épouvante plus sans doute ? […] Ô fille encor trop chère !
Madame de Sévigné remercie sa fille. […] Ma fille, le chemin n’est-il pas étroit ? […] Adieu ma fille ! […] La pauvre fille près de mourir ne les épouvante plus sans doute ? […] Ô fille encor trop chère !