Le cygne 2 Les grâces de la figure et la beauté de la forme répondent dans le cygne à la douceur du naturel ; il plaît à tous les yeux ; il décore, embellit tous les lieux qu’il fréquente ; on l’aime, on l’applaudit, on l’admire. […] Il fut choisi, avec Bouguer et Godin, pour aller à l’équateur, déterminer la grandeur et la figure de la terre. […] Chacun de nous est responsable de sa physionomie ; car l’expression d’une figure dépend des sentiments, des pensées, des habitudes morales de la personne.