C’est une brave femme. […] Taisez-vous, ma femme ; je vous vois venir. […] Peste soit de la femme ! […] Enfin il me pria de tenir sa femme, je le fis : il trouva que sa mère avait passé au travers de la flamme, et qu’elle était sauvée. […] Enfin il revint à nous dans cette rue où j’avais fait asseoir sa femme.