La famille du laboureur ……………… Mais le milieu du jour au repas les rappelle : Ils couchent sur le sol le fer ; l’homme dételle Du joug tiède et fumant les bœufs, qui vont en paix Se coucher loin du soc sous un feuillage épais. […] Et sous le poids du jour la famille sommeille Sur la couche de terre, et le chien seul les veille1. […] « Quiconque fut nourri aux affections de famille, et a éprouvé une de ces grandes et saintes douleurs que le cœur n’oublie pas, retrouve ici ses plus profondes émotions. » M.