L’homme n’est qu’un roseau le plus faible de la nature, mais c’est un roseau pensant. […] Et encore, loin de s’épancher, comme les faibles, Pascal fait effort pour se contenir ; l’ardeur de son âme ne paraît qu’à travers la sévérité de son esprit.
L’homme n’est qu’un roseau le plus faible de la nature, mais c’est un roseau pensant. […] Et encore, loin de s’épancher, comme les faibles, Pascal fait effort pour se contenir ; l’ardeur de son âme ne paraît qu’à travers la sévérité de son esprit.