Soudain ce faible amant, dans un instant d’ivresse, Suivit imprudemment l’ardeur qui l’entraînait, Bien digne de pardon, si l’enfer pardonnait ! […] Le faible, l’opprimé leur confiait ses droits, Au serment d’être juste ils admettaient les rois. […] De la seule raison acceptant le secours, Je demandai ma force aux sages de nos jours ; Leur sagesse a laissé mon cœur faible et sans arme. […] Je suis père, seigneur, et faible comme un autre. […] Allons, ma sœur, allons, ne perdons plus de larmes: Contre tant de vertus ce sont de faibles armes.