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62. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VIII. Petites pièces anciennes. »

Cet exemple montre qu’on répète à la fin le second vers avec le premier, tandis qu’on ne le répète pas au milieu. […] Je n’en donne pas d’exemple ici. […] C’était même le chant consacré aux grands événements, aux nobles infortunes, aux tristes amours ; plus tard, nos vieux auteurs s’avisèrent de croiser des vers très petits avec d’autres plus grands, comme dans l’exemple suivant ; et ils donnèrent à cette combinaison le nom de lai. […] Nous emprunterons notre dernier exemple à Scarron : c’est une sorte d’épitaphe satirique fort bien tournée, et dont l’agrément consiste surtout dans la suspension rapide de la fin.

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