Je jugeai bien qu’il avait dessein de tâter mon esprit. […] Mon prélat n’en fut pas mal satisfait. « Je suis content de votre main, s’écria-t-il, et plus encore de votre esprit. […] De plus, un esprit de la trempe de celui de Votre Grandeur se conservera beaucoup mieux qu’un autre, ou, pour parler plus juste, vous serez toujours le même. […] À mon âge, on commence à sentir les infirmités, et les infirmités du corps altèrent l’esprit. […] Mon esprit, grâce au ciel, n’a encore rien perdu de sa vigueur.