La verdoyante plaine, arrosée avec un art merveilleux, coupée en champs presque égaux, couverts de blés, de prairies, de jardinages, de vergers, et tout bordés de peupliers, que la vigne enlace de ses rameaux ; les collines étagées, où la terre, retenue par des murailles d’arbres et de gazon, offrait, selon l’exposition de ses pentes, de riantes allées de vignes, de pâles massifs d’oliviers, des bouquets d’orangers et de citronniers ; enfin, les sommets mêmes de ces montagnes couronnées de forêts de châtaigniers et ornés de villages ; tout cet ensemble le remplit d’admiration.