Au nom de Dieu1, mon cher enfant, ne négligez point les choses sans lesquelles vous ne remplirez pas tous les devoirs de votre état. […] L’enfant ne peut pas teter toujours1, ni même être sans cesse tenu par les lisières ; on le sèvre, on l’accoutume à marcher seul. […] Il faut que la main de Dieu te manie pour te rendre souple et pliant ; il faut qu’il te rende docile, attentif à la pensée d’autrui, défiant de la tienne, et petit comme un enfant : tout le reste est sottise, enflure et vanité. […] Il fait peur, il fait pitié ; il pleure comme un enfant, il rugit1 comme, un lion. […] Cet enfant est déjà un maître ; il commande, ses caprices sont des ordres !