Veillez du haut des cieux, chers enfants que j’implore, Sur mes autres enfants, s’ils sont vivants encore : Mon dernier fils, ma fille, aux chaînes réservés, Par de barbares mains pour servir conservés, Loin d’un père accablé, furent portés ensemble Dans ce même sérail où le ciel nous rassemble. […] de mes enfants auriez-vous connaissance ? […] Oui, c’est elle… je voi Ce présent qu’une épouse avait reçu de moi, Et qui de mes enfants ornait toujours la tête, Lorsque de leur naissance on célébrait la fête. […] Approchez, mes enfants. […] De vos bras, mes enfants, je ne puis m’arracher.