Suit un parallèle énergiquement tracé des mœurs et de l’éducation anciennes, rapprochées de l’éducation et des exemples que les Romains donnaient alors à leurs enfants. « Pénétrons, dit-il, dans l’intérieur des maisons : qu’y voit, qu’y entend un enfant qui puisse ne pas faire, sur sa jeune âme, l’impression la plus fâcheuse ?