Il faut alors dans une lettre de félicitation employer ces lieux communs déjà épuisés, qui sont le mérite de la personne, la justice qui lui a été rendue, les espérances qu’elle peut concevoir pour l’avenir, et l’intérêt qu’on prend à tout ce qui la regarde. […] Quand on écrit à des personnes de la plus haute distinction, il convient de ne pas employer la seconde personne, mais de se servir d’une périphrase. […] La formule qu’il convient d’employer doit être déterminée par les circonstances.