Les stoïciens de l’Empire conspirent peu ; ils ne cherchent pas à délivrer le monde de ses tyrans : ils se contentent de pourvoir à leur honneur par leur silence au sénat, et par un suicide paisible, quand l’empereur demande leur mort. […] Martha consacre à Perse et au stoïcisme dans son ouvrage intitulé Les Moralistes sous l’empire romain.