Si l’on a pu reprocher à son Histoire de la Révolution (1823-1827) trop d’indulgence pour les partis qui triomphent, il faut admirer dans les récits consacrés au Consulat et à l’Empire (1845-1862), l’amour du vrai, la clairvoyance d’une raison supérieure, et la modération d’un bon sens impartial. […] (Fragment de la Préface du XIIe vol. du Consulat et de l’Empire).