L’autre est pesant, lourd et massif : il se traîne lentement et avec de pénibles efforts, paraissant s’arrêter à chaque pas. […] ——————————— La Mollesse152 oppressée Dans sa bouche à ce mot sent sa langue glacée, Et lasse de parler, succombant sous l’effort, Soupire, étend les bras, ferme l’œil et s’endort.