Je lis dans Eugénie de Guérin : « Entre autres beaux effets du vent à la campagne, il n’en est pas qui soient beaux comme la vue d’un champ de blé tout agité, bouillonnant, ondulant sous ces grands souffles qui passent en abaissant et en soulevant si vite les épis par monceaux. […] Pour peu que le vent souffle, ces épis, coulant l’un sur l’autre, font de loin l’effet des vagues ; le grand champ du nord est une mer jaune.