La brûlante canicule1 desséchait la terre : toutes les plantes altérées languissaient ; les fleurs ternies penchaient leurs têtes, et leurs tiges malades ne pouvaient plus les soutenir ; les zéphyrs mêmes retenaient leurs douces haleines, l’air que les animaux respiraient était semblable à de l’eau tiède2. […] Tout son temps lui échappe, il ne sait ce qu’il en fait ; il le laisse couler comme l’eau sous les ponts1.