C’est ainsi que Vulcain se prend pour le feu, Neptune pour la mer et les eaux en général, Mars pour la guerre, etc. […] Les eaux sont ta ceinture, ô divine Cybèle ! […] S’il n’a plus ces rameaux et ces pompeux feuillages, Qui paraient le printemps et bravaient les orages, Sa tige dans les mers soutient d’autres assauts, Et brise fièrement la colère des eaux. […] Qui viendra vous verser des eaux rafraîchissantes ? […] chaque matin je courais vous revoir, Je vous soignais le jour, vous visitais le soir ; Des eaux du Paradis j’entretenais vos charmes, Et mes yeux maintenant vous arrosent de larmes !