Jamais la raison ne fut plus souriante : sa douce et spirituelle sagesse ressemble à la volupté d’un esprit droit et d’un cœur excellent2. […] Que si je ne suis né pour de si grands projets, Du moins que les ruisseaux m’offrent de doux objets ; Que je peigne en mes vers quelque rive fleurie2 ! […] Si doux. […] « Nous, nous abandonnons nos champs paternels et nos douces campagnes. […] La propriété prête à cette terre sans grâce un charme particulier ; c’est là qu’est mon cœur ; c’est là que le repos m’est doux ; c’est là que le chagrin m’est moins amer.